Dernière longueur pour le prix littéraire Vialatte, co-organisé par La Montagne et la Société des Hôtels littéraires (dont l’Hôtel Alexandre Vialatte, à Clermont-Ferrand) : la deuxième et dernière sélection vient d’être rendue publique.
Elle compte quatre livres qui ont tous été publiés dans le premier semestre 2024.
La liste des auteurs retenus, par ordre alphabétique, est la suivante :
- Joël Baqué, L’été indien, éditions P.O.L. ;
- Olivier Bourdeaut, Développement personnel, éditions Finitude ;
- Thierry Laget, L’Assemblée nationale et moi, Mémoires, éditions Fario ;
- Murielle Magellan, La fantaisie, éditions Miallet-Barrault.
Le lauréat sera annoncé le mercredi 12 juin 2024.
Comme établi depuis quelques années, la remise publique du prix aura lieu, à l’automne, à Clermont-Ferrand.
Elle est programmée le vendredi 4 octobre, à 18h30, à l’Hôtel Alexandre Vialatte (place Delille). Et sera suivie, le lendemain, samedi 5 octobre, de la participation de l’auteur au Salon du livre de Royat-Chamalières.
Pour cette nouvelle édition, le jury est composé de neuf membres :
- Claudette Vialatte, épouse de Pierre Vialatte, fils d’Alexandre ;
- Jacques Letertre, président de la Société des Hôtels littéraires et de l’Hôtel Alexandre Vialatte, à Clermont-Ferrand ;
- Patrick Besson, journaliste (Le Point), écrivain ;
- Astrid Eliard, romancière et essayiste, chroniqueuse du Temps présent dans les colonnes de La Montagne, enseignante à Clermont-Ferrand ;
- Hervé Gaymard, ancien ministre, grand admirateur de Vialatte, membre de l’Académie des Sciences Morales et Politiques ;
- Jean Brousse, éditeur, membre permanent du jury ;
- Vincent Garnier, directeur général de Clermont Auvergne Tourisme ;
- Blanche Cerquiglini, éditrice de Folio Classique et de Folio Théâtre ;
- Laurine Roux, lauréate du prix 2023.
Pour mémoire, le prix est doté de 6.105 €, un montant d’inspiration très vialatienne, représentant la somme de la longueur du fleuve Congo et de la hauteur du puy de Dôme.
Rare prix littéraire créé à l’initiative d’un quotidien régional, le prix Vialatte souligne, chaque année, le lien indéfectible qui unit La Montagne à celui qui a été, pendant plus de 20 ans, de 1950 à 1971, l’un de ses plus illustres chroniqueurs.